Radiofréquence vulvo-vaginale

La Radio Fréquence Vulvo Vaginale (RFVV) émet des ondes électromagnétiques qui délivrent une chaleur de 45° à 49°C dans le vagin et de 40°C sur la vulve. Elle ne détruit pas la muqueuse mais la régénère. Grâce à cette méthode révolutionnaire, il n’y a pas de risque de brûlure comme cela a pu être constaté avec le laser si la muqueuse est fine.
 De ce fait, la RFVV peut être également utilisée sur la vulve en cas de sécheresse, d’atrophie, d’irritations, de fissures, de lichen scléro-atrophique mais aussi sur le clitoris pour améliorer la vascularisation et de ce fait booster le plaisir féminin.

 

 

 

Indications

Traite la sécheresse de la vulve et du vagin, l’incontinence urinaire légère et la région du clitoris. Est la seule technique qui traite la sécheresse de la vulve et stimule la région du clitoris améliorant les rapports sexuels et le désir.

Les patientes ayant bénéficié d’une radiothérapie pelvienne pour un cancer gynécologique ou digestif ou une curiethérapie (radiothérapie intra vaginale pour un cancer du col de l’utérus), ont le plus souvent un vagin très altéré, détruit par les rayons. La RFVV, en régénérant les tissus sans les brûler, est donc une très bonne indication, agréée par les centres anticancéreux, ce que ne peut faire le laser.
L’atteinte vaginale étant plus importante, 6 à 10 séances seront souvent nécessaires pour retrouver un vagin souple et hydraté. .

Lieu

Au cabinet

Durée d'une séance

20 minutes

Nombre de séances

3 espacées de 3 semaine 1 mois.

Entretien et suivi

1 séance annuelle

Contre-indications

Aucune connue

Recommandations post-traitement

Effets secondaires éventuels

Aucun connu

Résultats

Les premiers effets positifs apparaissent à 15 jours et sont maxima à 3 mois. Les résultats se potentialisent à chaque séance.

Les patientes rapportent une amélioration nette de leur qualité de vie, un renforcement de leur estime avec une reprise de conscience de leur féminité et une reprise normale des rapports sexuels.

Cela permet aux femmes, doublement atteintes par la maladie et par les séquelles intimes des traitements anti cancéreux, de retrouver leur féminité et une harmonie sexuelle du couple.